En résonance au précédent article : Comment

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Comment survivre à sa famille en vacances (et tout le reste de l'année) ?

La famille est un paradoxe. Nous célébrons ses valeurs collectives, mais nous affirmons dans le même temps haut et fort notre individualité : "libre ensemble " comme l'écrivait le sociologue François de Singly. Voilà l'ambivalence de la famille contemporaine. Cette famille que nous chérissons mais qui peut étouffer...

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Parce qu'il y a une place de favori et une place de préféré...

que le petit troisième ne sert à rien...

et que j'ai compris ma place... enfin je crois... et ça n'a rien "contre ma famille", au contraire, ça éclaire bien des choses...

Comments

[soleil de minuit]

Personnellement j'ai assez souffert d'être l'ainée de la fratrie, celle qu'on ne voulait pas car venue trop tôt et en plus une fille et non un garçon, pour ne jamais avoir aucune préférence entre mes trois fils. Je m'en fous totalement de la place qu'ils ont. Ils ont chacun la même chose, pas un plus gâté que l'autre, pas de chouchoutage l'u par rapport aux autres, rien ; je les aime comme ils sont et ont chacun la même place dans mon coeur.

[Cataiguilles]

Ah la place dans la fratrie. Je suis l'aînée, ce n'est pas simple...Y a-t-il une place privilégiée ?

[Coeur de freesia]

Quelle nuance tu donnes à favori et préféré ? C'est nébuleux pour moi

[rachel]

ah bizarre car les dernier(e)s restent toujours le/la favori(e)....le/la petit(e) dernier(e) quoi....;)...