J'ai dit "deuxième rang, à gauche!" [Concours avec un truc à gagner inside]
Il y a des jours bénis... (mécréante que je suis!)
Dimanche... la belle journée!
Avec une brocante "hors catégorie" et son butin :
Et encore, j'ai fini en délestant ultimement (ça se dit?) mon porte-monnaie de ses 68 derniers centimes pour le MAGNIFIQUE champignon distributeur de piques pour l'apéro...
[Concours avec un truc à gagner à la fin de l'article!]
puis j'ai essayé de me faire belle :
(notez la cravate "Retour de chasse"!)
et le moment parfait...
Je ne l'oublierai jamais...
Franchement, je crois que même ado, je n'ai jamais eu des frissons aussi forts...
à part quand Robert Smith apparaissait sur scène et que le monde autour de moi n'existait plus...
Merci... Merci Philippe Katerine d'ETRE
Cette fois-ci, j'étais encore bien accompagnée... pas ma fille avec laquelle j'avais partagé le premier moment parfait d'une émotion pure et intense... mais d'amis qui me sont chers car ils sont de ceux à qui l'on se confie, de ceux avec qui l'on rit... On dit des bêtises, on refait le monde et surtout, on se rencontre alors que ce n'était pas du tout prévu! Merci Manu, Halima et Jo (waouh, ça fait MHaJ : magie!), merci Elodie et Xavier, merci Carine!
Cette fois-ci, je n'avais pas oublié mon doudou, ma si précieuse Bertille et je vous présente Dalido #ripdalido #dalidovamourirsurscene en hommage au pauvre hérisson qui mourut sous le courroux-chagrin de Philippe... (Détails par Ici)
"Deuxième rang à gauche"???
J'avais prévenu que pour être au plus près de Philippe, il fallait se mettre au bord du deuxième rang à gauche...
Ils ne m'ont pas (vraiment) cru... et c'est Manu l'heureux élu de ce tête-à-tête!
Une très belle soirée et je fus heureuse de constater que mon émotion fut partagée...
CONCOURS!!!!
Le voici le voilà!!!!!
Et là, je sais bien que je vais en décevoir plus d'une mais...
Non! je n'ai pas de places pour le Salon Création et Savoir-faire à gagner...
Vu mon butin, je pense que vous avez compris que j'aime les boutons!
Alors si vous aimez ce que je bidouille en couture, je vous propose un petit jeu :
Celle ou celui qui devine le poids de la caisse de boutons achetés dimanche aura droit à un truc cousu main
(porte-monnaie, trousse, sac à tricot... au choix!)
Evidemment, comment deviner le poids EXACT!!! C'est sûrement impossible...
Alors le gagnant ou la gagnante sera celui qui aura jugé au plus près!
Si ça vous tente, laissez un commentaire!
Révélation du poids des boutons et du nom du gagnant (et non l'inverse!) lundi 10 octobre!
Philippe Katerine, c'est ça :
Pourquoi avoir appelé ce nouvel opus Le film ? "Pas forcément pour des raisons cinématographiques. C'est l'idée qu'on se fait tous un film de notre vie".
Ce nouvel album, toujours décalé, laisse une belle place à l'univers de l'enfance, mais plus généralement à la famille et au couple. Sous l'image fofolle, les sentiments.
"Une odeur cuivrée". L'enfance, il en est question notamment dans la chanson Les doudous. "Des doudous, on peut en avoir à 3 ans et aussi à 80", lance Philippe Katerine, pour qui un doudou peut aussi être "une odeur". L'odorat est un sens primordial pour lui. Katerine, papa d'un garçon de trois ans, se souvient de l'odeur de son propre père. Elle était "cuivrée, extrêmement sécurisante." C'est cette figure du père qui est présente en filigrane.
"Avant de me retrouver en taule". L'album est né d'une fuite en avant, une fuite en voiture. Philippe Katerine était en vacances puis tout d'un coup quitte tout, prend la route et écrase un hérisson. Il relie cet événement à la mort de son père. "J'avais envie de supprimer mon prochain. La tentation a été forte, c'est la première fois que ça m'arrivait. Il paraît que c'est quand même un classique. Beaucoup de gens réagissent au décès de leurs proches de cette façon là. Ils veulent assassiner. J'y ai réfléchi à deux fois avant de me retrouver en taule des années. J'ai pris la bagnole et je me suis fait le hérisson. Je n'en suis pas fier, j'y pense. Il est omniprésent dans ma vie." Un choc à l'origine du processus du création.
"Le couple au milieu du monde". D'autres sentiments s'expriment aussi derrière le ton décalé et enfantin, ceux de l'amour, notamment dans A l'Elysée. Pour le chanteur, le palais présidentiel est "une île, un îlot protégé au milieu de Paris. On ne peut pas passer devant, il y a des barrières. Cette chanson est venu d'un article qui relatait un pique-nique entre François Hollande et sa compagne dans les jardins de l'Elysée. L'imagination a fait le reste." Mais il explique qu'en écoutant bien la chanson, ça peut parler d'autre chose, avec une dimension plus universelle : le couple au milieu du monde.
SOUS L'IMAGE FOFOLLE, LES SENTIMENTS
Que dire de plus...
Je suis ainsi aussi